Monument aux morts de Sermages – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.
Le Monument aux morts de Sermages, construit en pierre de Volvic par l’entreprise FRÉGUIN Jean. Dressé en forme de calvaire chrétien, en souvenirs des 43 enfants de Sermages tombés pour la France.
Son inauguration date du 11 novembre 1921.
AUROUSSEAU Fernand, AUBOSSU Jean-Marie, AUROUSSEAU Pierre, BALANDREAU Albert, BALIVET Joseph, BARTHLEN Eugène, BEAUNÉ Joseph, BEAUNÉ Jean-Marie, BONDOUX Laurent, BONDOUX Jean-Marie, BRETON Henri, CHAUSSARD Gustave, COCHET Joseph, COCHET Jean-Louis, COUDAVAULT Pierre, COPIN Léon, COURTAULT Isidore, DEVOUCOUX Fernand, FEBVRE Henri, CARIN Eugène, GAUTHÉ Francis, GIRARD Joseph, GUÉRIN Henri, GUILLOT Pierre, HUGOTTE Jean-Marie, LACHARME Louis, LAUMAIN Louis, LAUMAIN Albert, LEMAITRE Louis, LUCIEN Louis, LUCIEN Claude, MARTIN Paul, MICHOT Louis, MIGEON Édouard, MINCK Edmond, MISSON Joseph, MONTARON Victor, PERRAUDIN Léon, PERRAUDIN André, PIERRE Antonin, ROLLOT Louis, TRINQUET Joseph, PEULVEY Alphonse (39/45) GUERIN Camille, BOUCHOUX Adrien, LAUMAIN Fernand, DEVOUCOUX Marcel.
Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre.
Il en existe de plusieurs types : les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant.
Les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux.
La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).
La récente loi no 2012-273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès. L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.
La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »
Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925.
Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue.
Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participés directement aux combats. Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.
Sermages est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté.
Bonne découverte du Monument aux morts de Sermages GPS 47.02353, 3.8439
Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.
Découverte de la bataille du village de Sermages.
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