Monument Aux Morts de Saint André en Morvan – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.
Le Monument Aux Morts de Saint André en Morvan est situé entre la place Robert Mêle et l’église. C’est un pilier commémoratif représenté par une colonne quadrangulaire. Son espace est délimité par sept obus reliés par des chaînes.
Sur la façade du monument il est inscrit: »1914 – 1918 AUX ENFANTS DE SAINT ANDRÉ EN MORVAN MORTS POUR LA FRANCE ». Les noms des soldat mort pour la France 1914 – 1918
BLANC Henri Sergent DOMONT Raoul LINGER Émile APPENEAU Gustave BOULANGER Paul FAUDENER César MADELENAT Étienne COLLIN Émile ROBERT Émile CHAUCHEREAU Victor JOLLY Étienne GRIGNON Marcel CORNIOT Eugène Sergent LAROCHE Marcel Maréchal des Logis TRAMET Henri MEUNIER Georges Sergent RETIF Lucien JORET Auguste
Sergent RIBAILLIER Gabriel RAPPENEAU Eugène DEVEAU Édouard ROCHE Paul ROYER Armand MORIZOT Charles JOACHIM Ernest COLLIN Léon FILLION Lucien NADALON François FILLION Claude
JOLLY Auguste COLLINOT Lucien GUERIN Albert CARREAU Marcel LAIGRELET Charles LAGASSE Albert
RAPPENEAU Maxime LOULIER Adrien NADALON Joseph slt RAPPENEAU Émile FRAZAT Charles FILLION Joseph CASTEL Georges ROUGEAT Léopold MARCHAIS Charles RAPPENEAU Émile BASTIN Florentin.
1939 – 1945 Roger RAPPENEAU
Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre. Il en existe de plusieurs types : les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant ; les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux.
La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).
La récente loi no 2012-273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décèss. L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.
La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »
Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925. Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue. Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats. Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.
Bonne découverte du Monument Aux Morts de Saint-André-en-Morvan GPS 47.39343, 3.8578
Saint-André-en-Morvan est un village situé dans le département de la Nièvre en région Bourgogne Franche-Comté.
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Découverte du monument aux Morts d’Arleuf – Morvan.
Découverte de l’église de Sémelay vue de l’intérieur.