Monument aux morts de Myennes

Monument aux morts de Myennes un hommage

Monument aux morts de Myennes – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.

Le Monument aux morts de Myennes est situé sur la place de la Liberté, une place située en bout des rues de La Liberté, de l’Église et la rue des Tuileries. Le monument aux morts est daté de 1954.

La stèle est le résultat d’une initiative municipale. Le monument et une stèle en pierre sur le haut du monument nous pouvons observer un Palme et sur le bas de celui-ci une croix de guerre. Quatre arbres taillés sont situés autour de l’emplacement du monument délimité par des plots de béton reliés par des chaînes.

La plaque de marbre noir qui porte les noms des combattants à remplacer les anciennes gravures placées directement sur le monument.

Une œuvre de l’entrepreneur Cosnois Gaubier. Elle est inaugurée le 11 novembre 1954 en présence du sous-préfet de Cosne, du sénateur Gadoin et du président des anciens combattants de l’arrondissement Monsieur Marqui.

Une plaque à la mairie avec 27 noms gravés et une autre à l’église avec 33 noms a constitué pendant longtemps les seuls hommages de la commune à ses disparus.

Sur le haut du monument aux morts de Myennes il est inscrit:  » Aux enfants de Myennes morts pour la France « . La liste des noms est gravée par ordre alphabétique.

1914-1918

AUBERT AUGUSTE – BOUCHIER CHARLES – CORDIER OLIVIER – COULPIER ARMAND – COULPIER LUCIEN – COULPIER MARCEL – DOUDEAU CÉLESTIN – DUVERSON RAOUL – GENDRAS ALBERT – GOUTHIÉRE ALBERT – GOUTHIÉRE EDMOND – GRANDJEAN GASTON – GUILLAUMAT GASTON – GUYOT ANDRÉ – LÉLU HENRI – LIGER HENRI – MILLET CHARLES – MINAULT LOUIS – MOIZAN EUGÈNE – PÉNICHOT JULES – PILLARD ALBERT – SADIER PAUL – SIMON ALFRED SIMON ANDRÉ – SOULLIER LOUIS – THÉVIN ARMAND – VANNOD ARISTIDE.

1939-1945

GUILLAUMAT MAURICE – ROUSSEAU MAURICE – CORDIER RAOUL – PLANCON LUCIEN.

N’oubliez pas de citer Nièvre Passion dans vos travaux ! copie et reproduction de photos interdites !

Le monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre.
Il en existe de plusieurs types : Les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant .

Les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux.

La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).

La lois
La récente loi no 2012- Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus 273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès.

L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.
La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »
Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925.

Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue.

Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats.

Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.

Bonne découverte du Monument aux morts de Myennes GPS 47.4458, 2.93465

Myennes est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Myennes – Église Saint-Martin.

Découverte du pont de Saint Loup (Saint-Loup des Bois).

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