La pierre de Montbracon – Menhir de Montbracon – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.
La pierre de Montbracon, est une mégalithe de granit rose monolithe. Elle est située dans le parc du château de Montbracon, une propriété privée pas de visite.
Le Menhir de Montbracon Tombeau d’un Chef Gaulois. Un menhir d’environ 2.05 mètres de haut, pour un diamètre de 0,85 mètre à mi-hauteur.
À quelques mètres de ce Dolmen, une grande pierre plate sur le sol est à observer.
Dans les « Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d’Or Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon (France) – Éditeur Bernigaud et Privat., 1964 page 67 », il est noté : « Des fouilles effectuées à son pied ont montré que la pierre était enfoncée de 1,30 m dans le sol (IX, p. 159 à 169]. Dans les deux cas, il y a érection artificielle, mais pour ranger ces pierres parmi les menhirs au sens strict, il faudrait montrer qu’elles ont au moins quelques chances d’avoir été intégrées par les porteurs de la culture mégalithique ».
Peu de mégalithes sont reconnus comme tel en Morvan: » la Pierre de Montbracon à Dommartin » est encore à confirmer. Peut de pierres ont été érigées ou sculptées par l’homme du néolithique.
Un document de notre association est en cours d’élaboration. Merci au propriétaire pour son accueil.
Un mégalithe (en grec ancien μέγας / mégas, « grand » et λίθος / líthos, « pierre ») est une construction monumentale liée au mégalithisme.
Dans une publication de l’université de Bourgogne « Histoire du Nivernais » il est noté : qu’il y a une faiblesse en nombre et en moyens des chercheurs passés ou présents susceptibles de mettre en évidence ce lointain passé.
Pour la recherche purement préhistorique les premières publications relatant des découvertes ou des fouilles datent des années 1835-1840 et il faut attendre la création des premières sociétés savantes pour voir les travaux se multiplier, d’abord au sein de la Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts puis dans la Société Académique du Nivernais.
Les préhistoriens amateurs qui utilisent le bulletin d’une société savante pour la publication de leurs travaux sont rares et se limitent pour la plupart à une région géographique précise qu’ils essayent de prospecter de façon approfondie.
D’autres, amateurs fortuits, ne s’attacheront qu’à un site unique. Certains enfin, tels Octave Darlet ou Hippolyte Marlot ne se limitent pas au seul département de la Nièvre.
Un seul nom domine vraiment la deuxième moitié du XIXe s, c’est celui du Dr Honoré Jacquinot, né en 1814 à Moulins-Engilbert.
Travaillant essentiellement sur la région de Nevers, il est le premier à publier régulièrement des indications archéologiques, certes concises, mais dont on ne peut nier le caractère scientifique.
Il collabora à des revues d’audience nationale et prit part à des congrès internationaux.
Après Jacquinot, il faut attendre le début du siècle pour voir se lever une autre figure, presqu’aussi isolée, celle d’Antoine Desforges (1866-1943). Instituteur à Fléty, puis à Rémilly, Desforges va publier entre 1900 et 1940 une masse considérable d’articles sur ses recherches en Morvan et de synthèses sur des aspects variés de la préhistoire nivernaise.
Le patrimoine des communes de la Nièvre édition Flohic Tom 1 page 179.
Dommartin tire son nom de Dominus Martinus, un Saint Martin évêque de Tours qui a évangélisé les Gaules, cependant rien n’atteste la paroisse soit fondée à l’époque où l’évêque s’efforçait de convertir les campagnes.
Un clic pour situer les monuments du Nivernais sur une carte.
Découverte de l’église de la commune de Dommartin.
Découverte du monument aux Morts de la commune de Dommartin.