Monument aux morts de La Chapelle Saint André

Monument aux morts de La Chapelle Saint André – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Le Monument aux morts de La Chapelle Saint André est placé au carrefour de la départementale 5 et du Chemin communal 3. (La rue en direction de Créantay).

Ce monument est un pilier commémoratif avec une représentation d’un poilus en fonte moulée, dominant le monument.

Sur le devant du monument il est inscrit:  » AUX ENFANTS DE LA CHAPELLE MORTS POUR LA FRANCE 1914-1918 « .

1914 – 1918

1914 – SUZEAU GASTON – VERRONET ADRIEN – MAURER HENRI – SUZEAU JULIEN – GUILTAT STANISLAS – RIGAUT ALEXANDRE – DUBOIS JULES – PHIPPS MARCEL – MITTON ERNEST – GROSEILLER SEVERIN – SUZEAU EUGÉNE – SUZEAU EDOUARD.

1915 – NIEZ ARTHUR – ARGUILLAT GEORGES – GUITTON STEPHEN – BESANÇON Raymond – BESANÇON BAPTISTE – MARRIAUX FERNAND – LAINÉ JULES – THOULET FERNAND – BESANÇON HENRI – CHAMBAULT JULIEN – DEPARDIEU FRANÇOIS – TRUCHOT FLORENTIN – BESANÇON AUGUSTE – DENOUE
JULIEN.

1916 – POUMETTE FERNAND – RAVISE DÉSIRÉ – CORDONNIER PRUDENT – POT FERNAND – PERREAU AUGUSTIN – GUILLERAND PAUL – DELL RENÉ – SUZEAU ALBERT – GENOT JULES – CHAUVE MAURICE – LEBRUN MARCELLIN – BEAUVAIS ERNEST – DENQUE HENRI.

1917 – DUGUÉ GEORGES – BOULE GEORGES – COLANGE CHARLES – GUILTAT CLÉMENT – BONNEAU HENRI – TROTTET MAURICE – PIN EOMOND.

1918 – TROTTET GEORGES – MITTON PIERRE – MALINGRE JULIEN – PIGEON ARMAND – VILLARD ADRIEN – PINON AUGUSTE – CHAILLOU GASTON – PAUTRAT MAURICE – GROBETY AUGUSTE – LUCAS ALBERT – HEURTAUT FIRMIN – MURGER ETIENNE – VERRECHIA FERNAND.

1935 – 1944

THIENARD MARCEL.

Indochine

Lieutenant PIERRE BRACUE 2 SEPTEMBRE 1948.

Fusillé en 1944 par les Allemands : Alvès Jacques – Louhi André – Fournier Marcel – Larue Firmin – Migneau Paul.
Des suites de la guerre : GUILLEMENOT PIERRE – GENET ERNEST – SALLEA CHARLES – PIN JULIEN – CHOTTARD PAUL – GUILTAT ABEL.

N’oubliez pas de citer Nièvre Passion dans vos travaux ! copie de photos interdite !

Le monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre.

Il en existe de plusieurs types : Les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant .

Les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux.

La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).

La récente loi no 2012- Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus 273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès.

L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.
La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »
Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925.

Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue.

Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats.

Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.

N’oubliez pas de citer Nièvre Passion dans vos travaux ! copie de photos interdite !

Bonne découverte du monument aux morts de la chapelle Saint André GPS 47.39684, 3.343

La Chapelle Saint-André est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la chapelle de Briffault – Chapelle Saint Jean Baptiste.

Une vidéo sur le lavoir de la commune de la chapelle saint André.

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