Monument aux Morts de Lormes – Monument du souvenir – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.
Le Monument aux Morts de Lormes, est érigé en souvenir des soldats du village de Lormes tombés pour la Patrie. Les noms des soldats tombés pour la patrie sont inscrit sur les plaques.
1914 – 1918
1914 – Lieutenant COFFIGNEAU Joseph chevalier de la Légion d’Honneur – BENOIST Henri – BLANDIN Pierre – BOIZARD Célestin – BURNOL Georges – CAILLAUX Georges – FARGET Pierre – GILLOT Louis – HIRLEMANN Pierre – HIRLEMANN Simon – MARCHAND Alphonse – MIGNOT Lucien – MONGIN Louis – MORAND Alfred – MOULINOT Lucien – SALLE Charles – SUPPLISSON Camille – THEVENOT Charles – THEVENOT Félix – TRINQUET Lucien .
1915 – REBEILLARD Adrien – BENOIST Jean – BIDE André – BIDE Gabriel – BONORON Auguste – BORNE César – BOURDILLAT Eugène – BREUGNOT Dominique – CARTIER Eugène – CHALUMEAU Louis – CHOSSEFOIN Élie – COLINOT Lucien – COLINOT Georges – DARNEAU Pierre – DESBROSSES Pierre – DUCROT Armand – DUMAS Charles – FRÈRE Georges – GABRIEL Mathias – GUDIN Arthur – JOLY Claude – LEFEBVRE Auguste – MARCEL – MARION Eugène – NAUDOT Clément – PAUL Gaston – PETH Auguste – PITSCH Gaston – RENAULT Lazare – RIGNAULT Louis – ROUMIER Marcel – ROUSSEAU Justin – ROY Paul – RUELLE Joseph – SACQUET Paul .
1916 – BIERY Pierre – BOUCHE Edmond – CAMUS Eugène – COLINOT Claude – COLINOT Philippe – CONTANT Émile – DEVOUCOUX Jean-M. – DIOT Frédéric – ESNAULT Raoul – GUIBERT Philippe – LANTIER Germain – ROBELIN Augustin – ROUMIER Yves – ROUSSEAU Louis – TIXIER Léon .
1917 – AMIOT Joseph – BARBEDOR Henri – BOULY Édouard – BOURDIER Marcel – BOURGADIER Augustin – DELAVAULT Jean-M. – JACQUET Léon – LECHAT Jean – De MORANT Charles – OUDIOT Jules – PERNIN Léon – RABEUX Marcel
1918 – ANDRE Edgar – BARUT Jean-B. – BOUCHEPILLON Victor – JACQUET Marcel – LATHUILLIERE Antoine – MARTIN Henri – De MORANT Guy – NOLOT Louis – PERRAUDIN Jean-M. – PERROT Octave – PETILLOT Émile – POITREAU Alexandre – VILLAIN Gustave.
1939 – 1945
Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre.
Il en existe de plusieurs types : les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant.
Les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux.
La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).
La loi
La récente loi no 2012-273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès. L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.
La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »
Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925. Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue. Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats. Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.
Lormes est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté .
Un clic pour situer les Monuments nivernais sur une carte
Découverte d’un lavoir de la ville de Lormes.
Découverte d’un lavoir de Lormes privé.
Découverte de l’étang du Goulot de la ville de Lormes.
Bonne découverte du Monument aux Morts de Lormes GPS 47.29025, 3.81563
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